Bravo à Michel Barnier qui est bien seul dans ce débat de vin rosé. Il défend une vision qualitative du rosé. Dans son argumentaire, il met en valeur un travail de la profession de 15 ans qui a porté ses fruits.
Si le rosé a autant de succè, il ne faut pas se demander pourquoi. Des prix attractifs et une qualité expressive en hausse constante. Et peut être moins de prises de tête gustative pour le consommateur qui gouleye sans avoir à en référer aux experts.
L'Europe fait montre dans tous les secteurs d'un talent fou pour niveler sur la base du plus petit dénominateur commun pour le grand bien de l'industrie et pour mieux utiliser le consommateur. Qui comme son nom l'indique est un consommateur. Il existe pour consommer!
D'ailleur, dans le texte proposé par l'Europe, aucune mention n'est prévue sur l'étiquette pour indiquer la différence entre un rosé composé de vin blanc et rouge et un authentique rosé.
Défendons le rosé issu de raisins produits pour!
Bruno
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